Puis je me suis rappelé que j'avais su auparavant
Puis je me suis rappelé que j'avais su auparavant contenir mes élans – dans des pages précédentes, de l'ère fin 2002-début 2003, ma période la plus artistique ; après ce fut terminé, à partir de l'été voire du printemps 2003 j'avais perdu la foi (et pas sûr que je l'ai retrouvée depuis). Il ne s'est agi alors que de répondre à des soubresauts, ou bien d'étaler des procédures : « vous allez voir c'que c'est la BD / c'que sont mes formes / etc. » ; certains s'en contentent de ce "vous allez voir", pourtant c'est déjà perdre l'impulsion d'origine. Au départ, je voulais vraiment créer des séquences ; qu'est-ce qui a fait que ça s'est cassé la gueule ? Il y a clairement un virage pulsionnel que je n'ai pas su maîtriser : pour me sentir vivant il fallait que je mette mes tressaillements de débilité sur la table.
Je publierai intégralement le cassage de gueule libidinal là-bas : « Le mec avec qui l'autre con est jamais d'accord mais tout de même quelquefois voire assez souvent » (rien que le titre, ça sent le type qui n'a que ça à faire d'être sur une chaise à une table...)
Quant à ici, maintenant, il ne sera plus question que d'art (pages correspondant à ma période la plus artistique, donc) et non plus de sexualité (contrairement à tout ce en quoi la suite a consisté).
Pour une BD entière sur le fait qu'on comprend
Pour une BD entière sur le fait qu'on comprend pas de quoi il est question : La mission (2013)
Pour une BD entière sur le fait qu'on comprend pas de qui il est question : Un grand homme (2010)